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Evelyn C. Villena

© Antonella Danzi

Evelyn C. Villena

Flamenco

1. Enfant tu rêvais de...
Enfant je rêvais de devenir gymnaste artistique et enseignante de sport, mais très vite, la danse m’a aimantée. J’y voyais la réunion de personnes de tous horizons, d’abord dans les fêtes familiales, puis dans mon ouverture au monde.

2. Ton parcours en quelques mots...
Mon enfance a toujours été bercée par la musique et j’ai débuté mes premiers pas dans le flamenco à l’âge de 10 ans. Je me suis formée principalement en Suisse, en Espagne et en France.
Au terme de ma formation à la Haute École Pédagogique, j’ai parallèlement commencé à enseigner le flamenco.

3. Que t’apporte l’enseignement? Et pourquoi Ton sur Ton?
L’enseignement me nourrit chaque jour. Mes élèves sont une source d’inspiration et de motivation pour continuer de cultiver ma passion et mieux répondre à leurs besoins.
Dans mes cours ou sur scène, j’aime tisser des ponts entre les différentes émotions, afin de mieux les accorder, les faire cohabiter harmonieusement, et avant tout, s’écouter soi avec les uns les autres.
Il en résulte une brillance dans le regard, empreinte et manifestation de vie, où chacun y trouve son évidence.
Ton sur Ton est une belle histoire d’amitié et une deuxième famille qui s’agrandit d’année en année.
Le juste équilibre à mes rêves d’enfant. Je peux y concilier vie familiale, métier d’enseignante et passion.

4. Et quand tu n’es pas à Ton sur Ton?
Quand je ne suis pas à Ton sur Ton, je travaille sur des projets avec la compagnie OyakiFlamenco et l’Association Alogamia dont je suis co-fondatrice.

Maman à plein temps, je réalise très souvent mes tâches quotidiennes en musique et, quand le travail à effectuer le permet, j’en profite pour imaginer ou essayer des mouvements. J’y trouve fréquemment les premières impulsions pour la préparation de mes cours et chorégraphies.

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