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Fédérico Dicembrino

© Jean-Pierre Blanchet

Fédérico Dicembrino

Initiation

1. Enfant tu rêvais de ...
Enfant je rêvais d’être cycliste ou maçon. Entre deux, je construisais des batteries avec toute sorte d’objets pour taper dessus comme les cartons de Pandoro ou avec des Lego géants ou encore, et bien sûr, les casseroles de ma mère.

2. Ton parcours en quelques mots…
J’ai commencé la batterie en autodidacte en Sardaigne (Italie), lieu où j’ai grandi jusqu’à mes 17 ans. Arrivé en Suisse, j’ai intégré divers groupes allant du jazz au métal progressifs et suivi quelques cours. Après mon CFC de dessinateur architecte, j’ai poursuivi un Bachelor de Musique et mouvement à Bienne.

3. Que t’apporte l’enseignement? Et pourquoi Ton sur Ton?
L’enseignement, outre un moyen de me payer plus de cymbales, c’est pour moi une autre manière d’apprendre ce que j’ai appris, tisser des liens profonds avec les artistes et futurs artistes de ma région et contribuer à mon échelle à la vie culturelle. Ton sur Ton permet de concilier les projets personnels et professionnels très agréablement.

4. Et quand tu n’es pas à Ton sur Ton?
En dehors de Ton sur Ton, je construis une salle de musique aux Ponts-de-Martel, qui deviendra, je l’espère, un studio d’enregistrement vivant après mes études à Lausanne pour travailler comme technicien du son.

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